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PSLHDD; un nouveau parti politique en Belgique
1 février 2019

Accès à la Justice - Renforcer et respecter forces de l'ordre - Travailler à la réinsertion des détenus

Renforcer l’Etat de DROIT, premier rempart dans un monde civilisé.

 

Réinvestir dans la JUSTICE ; greffiers, juges, informatique & bâtiments

 

Depuis un temps certain, on constate que la justice est particulièrement mise à mal.

 

Cela a commencé par les bâtiments dont on a fortement négligé la maintenance par manque de prévoyance (on pourrait aussi parler des bâtiments scolaires).  

Tout qui vit dans une maison sait qu’il y a des travaux à réaliser régulièrement.

C’est la chose même pour un Palais de Justice, un Hôtel de Police, une prison,...

 

C’est la responsabilité des politiques passées : le 1er Ministre impose au Ministre de la Justice de réaliser des économies ; cela fera moins d’impôts à collecter et les électeurs seront contents.

On commence en reportant les peintures. 10 ans plus tard, ce sont encore des vieux châssis simples vitrages.

Après 20 ans, la vieille chaudière fioul rend l’âme.

Après 30 ans, des ardoises envolées laissent passer l’eau de pluie, les plafonds tombent et les archives sont bouffées par les champignons...

Le système informatique est digne des années ’80.

On termine en ne remplaçant pas le personnel lors des départs à la retraite.

Naturellement, la population qui voit seulement que « ça ne fonctionne pas bien » critique la Justice pour sa lenteur.

Aux prochaines élections, le politicien qui critiquera le plus la Justice est sur de se faire des voix en plus = le serpent mange sa queue = le populisme a gagné.

 

Le monde politique voudrait tuer l’Etat de droit qu’il ne s’y prendrait pas autrement.

 

Nous clamons que s’il fait si bon vivre en Belgique, c’est en grande partie grâce à une Justice accessible au plus grand nombre.

 

Cette JUSTICE, qui fait la différence entre un ETAT CIVILISE et un PAYS DU TIERS MONDE, doit être correctement financée par l’ETAT = par les IMPOTS + l’INFLATION.

 

La JUSTICE a un coût !

 

 

Réinvestir dans la JUSTICE ; personnel d’intervention, équipements & bâtiments

 

On entend toujours que le personnel est en sous-effectif, qu’il est fatigué par des horaires difficiles, stressé par le public auquel il doit faire face... c’est évident !

 

L’Etat doit mettre plus de moyens financiers pour recruter plus de personnel.

Plus de personnel = moins de stress et plus de possibilités de varier le travail.

Cela veut dire aussi plus de policier dans les quartiers car nous pensons, que l’on ne peut pas tout solutionner depuis un beau quartier général et un porte-parole qui parle « bien » devant les caméras.

 

Un policier de quartier, ce n’est pas qu’un policier qui est affecté à un commissariat de quartier. C’est surtout un policier qui a le temps de patrouiller dans son quartier, de parler avec les gens, de constater les mille et une incivilités, qui a la possibilité de rappeler la loi, et si ça ne suffit pas, de sévir beaucoup plus vite.

Cela solutionnera beaucoup de problèmes tels que : voitures mal garées, dépôts sauvage de déchets, sentiment d’insécurité. 

 

Un commissariat de quartier, ce n’est pas un bâtiment transformé à la va comme je te pousse en commissariat.

C’est un bâtiment sécurisé, et pour les policiers, et pour leurs véhicules personnels et leurs véhicules d’intervention.

Un policier n’est pas là que pour dire « non, ça c’est pas bien », il doit disposer de toutes les infrastructures nécessaires à sa mission.

 

L’ETAT doit de nouveau marquer sa présence dans chaque quartier.

 

Un militaire n’est pas un policier et vice versa. 

Mais lorsque le militaire devient un peu plus âgé, pourquoi ne pas lui proposer un stage comme policier, ambulancier, pompier... Si le travail lui plait, il suit une formation adaptée et il est prioritaire pour cet emploi.

 

Réinvestir dans la JUSTICE ; travail d’éducation dans les prisons, travail de réinsertion des détenus dans la société

 

A l’état de droit, on associe facilement – et c’est normal – justice, prisons, prisonniers et réinsertion.

Nous pensons que chaque détenu doit être obligé de suivre des formations qualifiantes durant sa peine. La première étant l’obtention du CEB dans sa langue maternelle pour ceux qui ne le possèdent pas encore.

 

Evidemment, cela nécessite une refonte complète du système carcéral. Mais si l’on veut réellement réinsérer ces personnes, il faut commencer par la base : s’assurer que chacun possède un minimum de bons savoirs dans la tête.

Il y actuellement des milliers de personnes au chômage qui pourraient très bien leur enseigner les compétences pour obtenir le CEB dans une des 3 langues nationales.

En limitant la taille des groupes à 10 personnes, il ne faut pas moins de 1 000 professeurs pour donner cours aux 10 000 détenus.

Il ne faut pas être BAC+4 pour dispenser ces formations. Une personne qui a obtenu son diplôme d’humanités et qui est motivée est apte.

 

Les 1 000 enseignants sortent du chômage, ne perçoivent plus une partie des impôts payés par ceux qui travaillent, consomment, payent des impôts à leur tour... la machine économique redémarre pour les enseignants et les détenus peuvent entrevoir une réelle amélioration de leur destin.

 

Promettre de réaliser cela entre deux élections, c’est prendre les électeurs pour des cons. Mais planifier sur 30 ans cette politique, c’est réaliste.

 

L’agriculture BIO, un outil de réinsertion pour certains détenus

 

L’agriculture « ancestrale » nécessite plus de travaux « manuels ». Notamment l’arrachage des « mauvaises herbes ».

L’utilisation du hersage et du binage tiré par un tracteur n’est pas toujours possible.

En effet, en culture plus traditionnelle, on ne cultive pas un seul type de plante sur d’énormes parcelles, mais plutôt 10, 20 ou 30 plantes différentes sur 1 hectare.

 

On a ici besoin du travail et du savoir-faire de l’homme. Pas pour travailler mois après mois à quatre pattes dans la terre, mais seulement lorsque le coup de main de l’homme est plus efficace que celui d’un tracteur.

Un agriculteur ne peut pas se permettre d’engager en CDI une équipe de 10 « arracheurs » ou de 10 « bineurs » pour un travail qui va peut-être durer seulement 15 jours répartis sur 3 mois.

La période des récoltes nécessitent aussi des pics de travailleurs.

 

Mais la main d’œuvre coûte chère, ce qui force les agriculteurs à rester dans le monde de la grosse agro-industrie, de ses produits chimiques et de ses OGM.

 

Par contre, dans les prisons Belges, il y a environ 10 000 détenus que l’on tient enfermés dans des cellules. Cela coûte en impôts et les détenus ne deviennent pas « meilleurs » par magie. Au contraire...

 

Certains prisonniers méritent leur peine et il serait dangereux pour la société de les faire sortir prématurément.

Les salauds irrécupérables ne doivent plus jamais sortir de prison.

Nous sommes opposés à la peine de mort et pour ceux-là, nous prônons l’internement à vie.

 

D’autres, même s’ils méritent aussi leur peine, ne sont pas pour autant des crapules sanguinaires. Un jour ils sortiront. Alors, pourquoi ne pas commencer et tenter l’expérience avec 1% de la population carcérale = 100 personnes. Ce 1% de détenus paye sa dette à la société en aidant le PEUPLE à produire plus de nourriture BIO. C’est meilleur pour la société et c’est meilleur pour les prisonniers qui apprennent un métier « en plein air ».

Au quotidien, c’est aussi intéressant pour le détenu et sa famille qui peuvent vivre ensemble après les 8 heures de travail.

La confiance c’est bien, mais la méfiance c’est mieux. Tous les détenus qui participent à ce programme sont équipés de bracelet électronique 24h/24h. Ils sont géolocalisés en permanence. En dehors de la maison, ils portent en permanence une caméra et un microphone.

Tous ne deviendront pas agriculteur, horticulteur, jardinier... mais au moins, ils payent leur dette en travaillant pour le bien de tous.

C’est en tout cas préférable que de les tenir enfermés. La promiscuité dans les prisons n’a jamais été un élément de réinsertion dans la société.

Au niveau familial, les enfants vivent avec leur papa de façon « normale », pas une heure de parloir tous les 15 jours et 2 x 2 heures de bus ou de train.

 

Le démontage et le recyclage des anciens appareils, encore un autre outil de réinsertion pour certains détenus

 

Nous recyclons de plus en plus de choses pour récupérer  les matières premières. Certains objets sont réparés et remis en vente. Nous devons encore améliorer nos taux de recyclage.

 

Démonter « proprement » un ancien appareil pour bien séparer toutes les matières premières n’est pas très compliqué et ne nécessite que peu d’outillage. Cela présente aux moins 3 gros avantages :

-    On recycle beaucoup mieux en triant manuellement plutôt qu’en utilisant des machines.

-    L’opérateur voit comment sont fabriqués les différents objets.

-    On peut combiner avec cours professionnels en fonction de la filière de recyclage.

 

Exemple : le détenu qui travaille au recyclage d’électroménagers (frigos, cuisinières, friteuse, ...) pourrait très bien suivre une formation qualifiante pour apprendre à réparer ces électroménagers.

 

Exemple : le détenu qui recycle du vieux mobilier pourrait suivre une formation pour devenir ébéniste, garnisseur,...

 

 

Personnes qui se droguent, trafics de drogues, personnes qui vivent dans les rues.

 

Personnes qui se droguent

 

Les personnes qui se droguent sont dangereuses pour elles-mêmes et pour la société en général.

 

Elles sont dangereuses pour elles-mêmes car elles détruisent leur santé en accéléré. Quasiment tous en sont conscients et tous aussi pensent ne pas pouvoir s’en sortir.

 

Ils sont dangereux pour la société en général car ils propagent plus rapidement des maladies, ils sont souvent contraints de voler ou de se prostituer pour trouver l’argent et acheter leur drogue. Ils deviennent aussi de nouveaux revendeurs = ils doivent trouver de nouveaux clients par tous les moyens et la pieuvre noire continue son œuvre.

 

On ne peut plus laisser ces personnes livrées à elles-mêmes en espérant que des salles de shoots encadrés suffiront à solutionner le problème.

Elles doivent être internées en milieu hospitalier le temps nécessaire à leur sevrage ; 3 mois, 1 an, 2 ans ou plus longtemps si nécessaire.

Certains diront que c’est de l’abus d’autorité.

Nous défendons le point de vue qu’il faut aider ces personnes à se soigner, même contre leur gré.

Sinon c’est accepter de ne pas intervenir quand des personnes sont en danger : les personnes droguées elles-mêmes et les citoyens qui sont victimes de leurs agressions.

 

Trafics de drogues

 

Après avoir autorisé la détention de cannabis à usage personnel, certains « bobo-populistes » défendent l’idée d’autoriser la culture de cannabis à usage personnel... et puis, quoi, ils autoriseront aussi la culture de champs de pavots à usage personnel ?!!!

Il ne faut pas confondre l’usage médical qui peut être fait du cannabis ou d’autres drogues, pour soulager des douleurs, et des consommations addictives qui rendent les consommateurs amorphes.

 

S’il était facile de lutter contre les trafiquants, ça se sauraitL.

L’ETAT doit renforcer la lutte au niveau mondial, européen, national et local.

 

Toute personne qui réalise du trafic de drogue doit être emprisonnée immédiatement.

Ce sont bien souvent des personnes qui n’ont pas d’autres choix mais ce n’est pas une raison pour laisser faire.

Les états doivent faire la publicité de ces personnes incarcérées afin de dissuader d’autres d’essayer.

Pour le travail de réinsertion, nous renvoyons au programme de formations en prison.

 

Au niveau mondial – sous l’égide de l’ONU ? – il faut cibler les pays producteurs.

Envoyer des commandos pour arracher les plantes « droguifères » ne fera que déplacer et temporiser la production.

Il faut au préalable mettre en place des politiques d’aides au développement pour que les populations locales aient plus d’intérêts à travailler « normalement » que pour des narcotrafiquants.

 

 

 

 

 

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