Relancer l'activité industrielle en Belgique grâce au soutient MASSIF à la transition énergétique
Relancer l’activité industrielle Belge et favoriser la transition environnementale
Relance de l’activité industrielle dans le secteur des TRANSPORTS EN COMMUN
L’état (càd Le PEUPLE) garanti à chacun de se déplacer facilement. La manière la plus efficace (en terme de coût, de consommation d’énergie, de matières premières, de pollution) est de favoriser l’usage des transports en commun.
Pour cela, l’Etat commande annuellement du matériel aux constructeurs installés en Belgique ;
- 25 locomotives et 150 voitures de voyageurs ~ 15000 places assises en + chaque année.
- 200 voitures de tram/métro combinées en rames de 2 ou de 3 voitures ~ 80 rames de tram/métro ~ 6000 places assises en + chaque année.
- 1000 bus, certains optimisés pour la ville, d’autres pour les liaisons entre villes ~ 30 000 places assises en + chaque année.
- 200 minibus pour les liaisons entre petits villages ou en ville lors des faibles périodes d’affluence ~ 2000 places assises en + chaque année.
Ces nouveaux équipements doivent satisfaire à de hautes normes environnementales : très faible consommation, très faible pollution, maintenance réduite, recyclage facile,...
L’état encourage l’utilisation des combustibles renouvelables dans ces transports en commun. Des encouragements fiscaux permettent aux constructeurs d’alléger leurs coûts de recherche développement.
Tous les sous-ensembles qui composent un véhicule complet doivent être produits en Belgique : les sièges, les vitrages, les pneus, les jantes, les moteurs thermiques et électriques, l’électronique, les châssis, les carrosseries, les climatisations, la peinture...
Les constructeurs de véhicules ont enfin une perspective positive sur les ventes futures et ils peuvent investir sereinement.
Les sociétés de transports peuvent mieux planifier leurs moyens humains et financiers. Les sociétés de transport peuvent se concentrer sur la gestion du transport au quotidien.
L’état verse une dotation annuelle aux sociétés de transport pour financer le salaire des conducteurs de ces nouveaux engins.
Les transports en commun sont gratuits car on applique une meilleure répartition de la richesse et les structures de gestion sont réduites.
Le secteur privé est également sollicité pour assurer l’exploitation de certains transports en commun.
En contrepartie, les organes de gestion de transport public sont réduits. Il n’est pas normal de garder des structures de gestion pyramidales. Il est imposé aux organes de gestion de transports en commun par train, tram, métro et bus d’organiser des points d’arrêts avec abris voyageurs éclairés, chauffés et gardés + parkings vélos et voitures sécurisés.
Relance de l’activité industrielle dans le secteur des VEHICULES PRIVES AUTOS ET MOTOS
Les constructeurs moto
Les constructeurs de motos installés en Belgique construisent des véhicules motorisés avec de l’électricité, de hydrogène ou de l’air comprimé. Ils sont encouragés à produire des motos propres et présentant des éléments de sécurité efficaces ;
- 0% CO2, 0% NOx.
- airbags moto et airbags pilote et passager.
- vitesse limitée à 120 km/h.
- au moins 750 km d’autonomie à 90 km/h. Au moins 500 km d’autonomie en ville.
- tous les sous-ensembles sont produits en Belgique.
La fiscalité encourage leurs produits : 0% de TVA et réduction de la base imposable de 15% de la valeur de la moto, et tant qu’elle reste la propriété du 1er acheteur et pendant maximum 10 ans.
Les constructeurs automobiles
Ils sont installés en Belgique. Ils construisent des véhicules motorisés avec de l’électricité, de hydrogène ou de l’air comprimé. L’essence, le diesel et le LPD sont autorisés si ces véhicules démontrent des performances très supérieures à ce qu’il se fait actuellement. Les véhicules doivent atteindre ou dépasser les performances suivantes :
- 0% CO2, 0% NOx.
- le véhicule est équipé d’airbags intérieurs et extérieurs.
- vitesse limitée à 120 km/h.
- une autonomie d’au moins 1500 km en roulant à 90 km/h stabilisé.
- une autonomie d’au moins 2000 km en roulant à 50 km/h stabilisé.
- une autonomie d’au moins 1500 km en circulant en ville.
- une excellente isolation thermique pour limiter l’usage de la climatisation en été et du chauffage en hiver.
- l’ordinateur de bord enregistre les consommations et les modes de conduite afin d’améliorer la consommation des générations futures de véhicules.
- tous les sous-ensembles sont produits en Belgique.
Comme pour les motos, la fiscalité encourage leurs produits : 0% de TVA et réduction de la base imposable de 15% de la valeur de la voiture, et tant qu’elle reste la propriété du 1er acheteur et pendant maximum 10 ans.
Anciens véhicules
Les législations Belge et Européenne doivent être revues pour permettre d’électrifier les anciens véhicules essence ou diesel qui ne correspondent plus aux normes antipollution.
En Angleterre et en Amérique, il est légalement autorisé d’adapter de nouvelles motorisations électriques ou hybrides sur d’anciens véhicules.
Tout le monde n’a pas les moyens d’acheter un nouveau véhicule électrique à 25 000 €. Alors pourquoi pas chez nous aussi? L’EUROPE doit servir les citoyens avant tout, les financiers en dernier !
Relance de l’activité industrielle dans le secteur du GENIE CIVIL
La construction des éco quartiers nécessite de nombreux engins de génie civil : camions, bulldozers, chariots à fourches, grues à tour, monte-charges, bétonneuses, dameuses,...
Les entrepreneurs qui investissent dans les équipements construits en Belgique peuvent réduire leur base imposable de 25% de la valeur d’achat pendant 10 ans.
La construction des éco logements va booster toute l’économie du secteur construction ; En moyenne, une nouvelle maison sera composée de 1 hall d’entrée, 1 cuisine, 1,5 salle de bain, 1 salon, 1 salle à manger, 3 chambres, 1 grenier, 1 grand garage, 1 jardin.
La construction d’un éco logement nécessite :
120 m3 de béton, 100 m2 de briques de façade, 50 m3 de pousse PUR, 200 m2 de carrelage, parquet, béton ciré, chauffages sols...300 m2 de toiture, 3 portes extérieures, une porte de garage, 10 châssis, 10 portes intérieures, 2 fenêtres de toit, 2 électroménagers intelligents (lave-linge et lave-vaisselle) + 1 système informatique pour tarification prix énergies + planifier consommations en liaison avec le centre opérationnel de la micro-centrale électrique, 1 cuisinière + 1 four électriques et une cuisinière + 1 four à pellets, 1 frigo et 1 congélateur très bien isolés et avec stockage de froid, 1 salle de bain, 2 WC, 1 pompe à chaleur à 2 niveaux de compression d’une puissance thermique de 5 KW (elle est délestable), 30 m2 de panneaux solaires thermiques + 4 boilers de 500 litres, 150 m2 de panneaux solaires photovoltaïques + 1 onduleur de 30 KW, 1 chargeur électrique dans le garage, 1 ventilation double-flux, 1 citerne isolée d’eau de pluie de 50 m3, 1 abris de jardin.
La construction d’un éco quartier de 1000 éco logements comprend :
1000 maisons = 20 km de routes = 10 km de trottoirs = 10 km de piste cyclable = 100 micro-centrales de 20 KW chacune = 100 groupes électrogènes 20 KW, 1 station-service hydrogène comprimé, 1 station-service air comprimé, 1 centrale électrique renouvelable dans laquelle on trouve 6 rotors accumulateurs d’énergie électrique (6 x 580 KW), 20 tonnes de batteries stationnaires au plomb-acide (40 KW en continu, 2 MW en pointe) et 10 électrolyseurs (10 x 1 MW).